Long-métrage documentaire | 92 et 46 min
TERRE INNUE © 2017
Réalisateur / Scénariste
Kevin Bacon Hervieux
Directeur photo
Philippe St-Gelais
Équipe son
Lynne Trépanier
Catherine Van Der Donckt
Benoît Dame
Monteur
Geoffrey Boulangé
Assistante au réalisateur
Jacinthe Beaudet
Productrice déléguée
Andrée-Anne Frenette
Producteur exécutif
Réginald Vollant
Producteur
Ian Boyd
Avec
Danielle Descent
Kim Fontaine
Philippe Mckenzie
Jean-Luc Vollant
Sylvain “Putu” Vollant
Festivals et Prix
PREMIÈRE MONDIALE
Festival du Nouveau Cinéma 2017
MEILLEUR DOCUMENTAIRE
Médiafilm
Prix Communications et sociétés, 2019
PRIX IRIS - MEILLEUR DOCUMENTAIRE
Québec Cinéma, 2019
Diffuseur
APTN
Canal D
Distributeur
Vidéographe
Et la participation des artiste-interprètes et musiciens de la 32e édition du Festival Innu Nikamu (août 2016)
Charles Api Bellefleur
Alfred McKenzie
Black Wolf Singers
Willy Mitchell
Natasha Kanapé Fontaine
Jeffrey Papatie
Melissa Girvan
Petapan
Kaïla Bacon Jérôme
Nina Segalowitz
David Hart
Simple Plan
Koriass
Gilles Sioui
Maten
Shauit
Zébulon
Bande-annonce
https://www.youtube.com/watch?v=0Xw9k_TAOYc&ab_channel=Vid%C3%A9ographe
Les origines et l'évolution du Festival Innu Nikamu sont intimement liées aux racines culturelles et territoriales des Innus et plus particulièrement à la vie de la communauté de Mani-Utenam.
Au 20e siècle, le pensionnat Notre-Dame, à Mani-Utenam, qui arrachait les jeunes Innus de la Côte-Nord à leur famille, leur territoire et leur culture, faisait partie d’un programme d’assimilation imposé par le gouvernement fédéral à l’échelle du pays et a laissé une cicatrice indélébile dans la communauté. À la fermeture du pensionnat, des bâtiments ont été démolis et enterrés dans un champ qui est devenu, en 1985, le site d’Innu Nikamu.
Grâce à la musique qui a accompagné les Innus tout au long de leur histoire, le réalisateur Kevin Bacon Hervieux retrace la fabuleuse aventure des fondateurs du festival, des musiciens, des artisans et collaborateurs qui ont allumé l'espoir d'un peuple en détresse, osant croire que le défi de la réappropriation de leur culture et de leur langue n'était pas impossible.